vendredi 28 août 2015

Nuit blanche au pays « de la notion de preuve en Psychologie »

Les critères de scientificité en recherche qualitative… Tout un programme !

Je le partage sans honte, je crois que durant la première heure de lecture (de l’article à étudier)… Je n’ai rien compris à ce que je lisais ! J’avais cette sensation bizarre de lire une langue que je comprenais phonétiquement sans comprendre le sens des mots.
J’ai d’ailleurs « croisé » de jolis mots, en « isme » « iste », souvent au minimum à 5 syllabes, presque poétiques. Ceux que j’aurai le plus lu cette nuit : « scientificité » et «épistémologique ».

16 pages de notes plus tard… que dire…

J’ai compris que les chercheurs qualitatifs, comme les quantitatifs, ont des critères et des méthodologies à appliquer avec rigueur tout en évitant la rigidité (pas fastoche, fastoche donc…)
J’ai aimé lire qu’il serait difficile d’imposer avec force ces règles « d’enquête » à l’homme (qu’il soit chercheur ou sujet), dont la priorité est de ne justement pas suivre de règles méthodiques ! Ah ah ah ! Sommes-nous « basiquement » rebelles ?
La subjectivité du chercheur, même si elle complique l’entreprise de la recherche, a donc un intérêt, à condition que le chercheur ait préalablement bien identifié ses motivations à mener telle ou telle enquête, pour ne pas juste chercher ce qu’il espère trouver !
MAIS POURQUOI ? (me direz-vous… avec une angoisse digne de celle que l’on peut éprouver en lisant LE roman policier de l’été)
Et la réponse arrive :
Car il a la responsabilité d’assurer la crédibilité de ses découvertes en instaurant des balises propres à son positionnement épistémologique ! Et ouais messieurs-dames !


En conclusion : Les recherches qualitatives et quantitatives sont donc bien différentes et distinctes, chacune ayant ses intérêts, ses méthodes et ses critères !

Sur ce, je vous souhaite une bonne journée ! A bon entendeur…


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