lundi 21 septembre 2015

Plus déterminée que jamais…

La vie dans ce qu’elle a de plus insensé, dans ce qu’elle a de plus cruel, a pris une tournure violemment inattendue. J’en parle ici.

Après cela, mon cerveau n’a pas pu retourner aux révisions, et j’ai rapidement décidé de ne pas forcer les choses…

Ces malheurs, qu’ils nous touchent de près ou de loin, peuvent nous re-déterminer à donner du sens à cette vie qui nous paraît parfois si injuste...
C’est exactement, ce que j’ai décidé.
Et, même si je n’ai validé aucune matière cette année, ma détermination, à aller jusqu’au bout de cette formation (que j’ai choisi pour apprendre encore et toujours, m’enrichir intérieurement afin de pouvoir soutenir au mieux mes interlocuteurs), n’en a été que renforcée !

Motivation au top, en effet... (ce qui me connaissent bien en rirons) j’ai pris le taureau par les cornes pour me libérer d’un blocage, ancré en moi depuis de nombreuses années… J’ai décidé d’arrêter de croire que « j’étais nulle en maths » pour valider sereinement les épreuves de statistiques, indispensables à la validation du cursus de Psychologie (Hélas ! :-))

Comment je fais ?
Alors que ma réinscription à Paris 8, pour cette année, est en cours, j’agis déjà avec la ferme intention d’avoir une super note en « Statistiques » !

Oui ! Comme pour beaucoup d’entre nous, l’école a laissé en moi cette impression qu’une part de moi était « non-adaptée » au système, ce qui se confirmait d’ailleurs par mes notes en maths, et la façon dont mon père s’arrachait les cheveux à essayer de m’expliquer cette étrange matière…
Et j’étais bien persuadée de ne jamais avoir à me rapprocher de cette sensation « d’échec »…
Et bien non ! A plus de 40 ans me voici « obligée » de dépasser ce blocage et en fait si on y réfléchit bien : d’accepter que je suis capable de relever tous les défis et donc de dépasser l’image « que l’on m’a collée » ;)

Alors, pour essayer de me « débloquer », j’ai regardé le très chouette documentaire « Comment j’ai détesté les maths » avec Cédric Villani (Médaille Fields 2010)

et j’ai trouvé tous ces mathématiciens forts sympathiques, et je suis sentie moins seule, car on est des millions à penser que nous sommes « nuls » en maths !
Cependant, il me fallait une action concrète… Car oui, si j’avais pu me mettre à m’entrainer seule, depuis que je me suis inscrite en psycho, et bien je serais au courant…

Et le « hasard » faisant bien les choses… Il a fait que je suis « tombée » sur  le blog de Matthieu Cisel qui présentait le MOOC « Introduction à la statistique avec R » et devinez quoi ? C’est le logiciel que j’avais utilisé d’une demie journée à la fac, lors du TP Statistiques… Et là sans réfléchir, je me suis inscrite au MOOC !!!

La première semaine était déjà commencée, mais même pas peur !
Ça dure jusqu’au 20/25 octobre !

Les formules statistiques comme matière pour maîtriser l’utilisation d’un logiciel, voilà qui me parle… Et pour l’instant, je m’en sors pas mal !
Je vous raconterai ;)


vendredi 28 août 2015

Nuit blanche au pays « de la notion de preuve en Psychologie »

Les critères de scientificité en recherche qualitative… Tout un programme !

Je le partage sans honte, je crois que durant la première heure de lecture (de l’article à étudier)… Je n’ai rien compris à ce que je lisais ! J’avais cette sensation bizarre de lire une langue que je comprenais phonétiquement sans comprendre le sens des mots.
J’ai d’ailleurs « croisé » de jolis mots, en « isme » « iste », souvent au minimum à 5 syllabes, presque poétiques. Ceux que j’aurai le plus lu cette nuit : « scientificité » et «épistémologique ».

16 pages de notes plus tard… que dire…

J’ai compris que les chercheurs qualitatifs, comme les quantitatifs, ont des critères et des méthodologies à appliquer avec rigueur tout en évitant la rigidité (pas fastoche, fastoche donc…)
J’ai aimé lire qu’il serait difficile d’imposer avec force ces règles « d’enquête » à l’homme (qu’il soit chercheur ou sujet), dont la priorité est de ne justement pas suivre de règles méthodiques ! Ah ah ah ! Sommes-nous « basiquement » rebelles ?
La subjectivité du chercheur, même si elle complique l’entreprise de la recherche, a donc un intérêt, à condition que le chercheur ait préalablement bien identifié ses motivations à mener telle ou telle enquête, pour ne pas juste chercher ce qu’il espère trouver !
MAIS POURQUOI ? (me direz-vous… avec une angoisse digne de celle que l’on peut éprouver en lisant LE roman policier de l’été)
Et la réponse arrive :
Car il a la responsabilité d’assurer la crédibilité de ses découvertes en instaurant des balises propres à son positionnement épistémologique ! Et ouais messieurs-dames !


En conclusion : Les recherches qualitatives et quantitatives sont donc bien différentes et distinctes, chacune ayant ses intérêts, ses méthodes et ses critères !

Sur ce, je vous souhaite une bonne journée ! A bon entendeur…


mercredi 26 août 2015

Il est revenu le temps des révisions !

Et hop, comme toujours à cette période, depuis 4 ans, c'est le moment où j'écris un petit article pour partager mon défi !

Et oui, déjà 4 ans ! Et je continue !

Comme d'habitude, j'ai espéré pouvoir réviser plus tôt...
Comme d'habitude, je vais m'y mettre au dernier moment... On est à J-12 du début des exams et comme d'habitude, on ne peux pas dire que j'ai commencé à réviser.

Mais l'expérience de ces 3 précédentes années, fait que je sais que je ferai mon maximum et que faire un pas de plus... c'est avancer.

Le moment est venu d'avancer, de plonger dans les bouquins, de télécharger les cours depuis la plateforme, (en plus du reste) et de veiller la nuit... ;)

Je déclare ma micro-période annuelle de révisions ouverte !
:-)

It's time to connect...

Come On !!!